Courriels

A propos des courriels spontanés reçu dans les boîtes éponymes, une bien bonne parmi tant d’autres.

L’un d’eux venant d’un voyant mal éclairé me dire « vous êtes bien sur la liste ».

C’est exact, sinon je n’aurais jamais eu cette prédilection en ordinateur propre.

Heureusement, qu’un premier, dans le même lot, avait claironné « il fallait que je vous prévienne ».

Ces deux forment une sorte de poème qui annonce une bonne journée débutée.

Dans cette suite quasi interminable, les inévitables Une journalistique qui vous font gagner un temps fou de lecture.

L’une d’elle nous rappelle que, entre autres, la semaine va être chargée en grèves, manifestations… Et, comme de bien entendu, la photo illustrant le propos est celle d’un personnage solitaire envahi d’une épaisse fumée de fumigène, marchand sur un macadam souillé par des graphs en nombre.

Pas de souci, c’est une information forte en objectivité.

Et, le meilleur, c’est que le sujet traitant de ces fait ne prend pas plus de place que les autres articles.

L’on pourrait dire moins, puisque ce premier comporte plusieurs actions.

A propos, il est complètement faux et absurde de dire que les syndicats sont contre toute réforme.

Simplement, ils ont, à juste titre me semble-t-il, juste du mal à digérer ce qui va à l’encontre du bien social.

Car, il ne faut pas se tromper et enlever la poutre se trouvant dans vos yeux, cette réforme des retraites annoncée est avant tout politique.

Elle résulte d’un choix politique puisque les autres possibilités de réforme ont été écartées par le réélu qui ne l’a pas été pour cela.

Pour mémoire, il avait été question de taxer les machines qui suppriment les emplois.

Où est donc passée cette manne financière ? Mais ce n’est qu’un exemple parmi un éventail de recettes bien plus nourrissantes pour les salariés.

Mais, le gouvernement a préféré favoriser les riches, les vrais.

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