Oui, vous lisez bien, c’est un accord inédit à l’amiable ; autrement dit sans aucune mesure des sommes détournées par le seigneur de la malbouffe.
Mais, il vaut mieux un bon accord qu’un mauvais procès d’autant plus qu’il n’est pas certain que nos avocats soient à la hauteur de ceux d’Outre Atlantique.
Et il paraît que, dans cette entreprise, il n’y ait pas révolution car les modalités de paiement sont encore à voir.
Puis elles seront négociées et après l’on verra bien.
Et les consommateurs vont en manger de ces sandwiches à la sauce d’Outre Atlantique ! Visiblement, c’était bien une erreur de jugement, voire un contre-sens historique lorsque le réélu a dit qu’il ne fallait pas vexer celui qui se veut tsar en Empire actuellement déchu.
En effet, il faisait lien avec l’époque de notre première guerre fleur au fusil.
Mais, le tsar a fait preuve de discernement en coupant le robinet à la France.
Il ne fallait pas l’humilier en le comparant à ce qu’il pense ne pas être.
D’ailleurs, à y regarder de plus près, il ne porte pas de petite moustache caractéristique.
Le patron des hôpitaux publics créent le buzz.
Sans prévenir, il annonce tout de go son désir de départ quasi immédiat.
Il déserte la fonction comme des milliers de personnels soignants ayant fait de même avant lui.
Les chaise musicales se sont déclenchées.
Mais, le suspense est quasi terminé puisque c’est le grand copain de l’ancien premier ministre qui challenge la relève.
La montagne aura accouchée d’une souris.
Pas certain que le retour recherché des soignants soit effectif rapidement.
