C’était maintenant pour demain

Autrefois entreprise publique, la SNCF est devenue entreprise privée.

Et comme tout capitaliste, elle veut faire croire qu’elle s’intéresse aux clients.

Et voilà le pourquoi de l’arnaque du remboursement à 200 % du ticket pris sans pouvoir voyager.

Les salariés, non client, n’auront droit à aucun regard.

Ils peuvent faire grève.

Tout reste possible avec la Sncf.

Et c’est le gouvernement via son porte-parole, qui garde la santé, de décider quant c’est le moment de faire grève ! Remarquez, le public semblerait agir de même.

Dans les hôpitaux il est prévu de sucrer les vacances pour tenir bon face à l’incurie des sachants incapables de pourvoir des postes dans de bonnes conditions.

Ils préfèrent présurer du personnel déjà à genoux depuis les deux années d’alerte Covid.

Jamais, ho grand jamais, ces gens, nés avec une cuillère en or dans la bouche, ou la chance leur a sourit pour les autres, sortis des grandes écoles à apprendre par cœur sans réfléchir à la vraie vie des gens pourtant largement majoritaire en nombre et en savoir de la vie, ne remettent en question le rôle patronal du chef.

Et, si ce dernier savait prévoir le futur travail à organiser ? Et si ce dernier savait négocier sérieusement avant les grands mouvements ? Que croyez-vous qu’il se passerait ? Allez, braves gens, dormez tranquille… Le monde est fou.

400 milliards versés par ceux d’Outre Atlantique pour que flotte, à l’Est européen, un certain prix de Liberté, sans compter ce qui a été versé par les autres alliés.

Mais, combien a été donné, dans le même temps pour éradiquer la pauvreté et régler le réchauffement planétaire ? Israël tombe complètement à l’extrême droite.

Ce pays veut-il verser sur ce que ses citoyens ont vécu dans leur chair au siècle dernier ? Et, les mêmes pourront dire au revoir à ce qu’il reste de leur Liberté chérie.

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