Anciennement, il pouvait continuer se déclarer de gauche avec ses pantins lui servant d’alibi.
Aujourd’hui, il dévoile sa face de banquier en faisant copinage déclaré avec les droites qu’il estime présentable.
C’est comme lors d’un grand dîner, seuls sont invités ceux qui ont une carte de visite susceptible de faire avancer les intérêts de l’hôte de la sauterie.
Ainsi donc, il a asséché les communes en les privant de leurs impôts locaux dont la majorité calculait au plus juste des besoins.
La compensation, comme à son habitude par l’état, ne compense que l’idée d’intention de compenser.
Le trou béant manquant sera à la charge de ceux qui peuvent encore payer, notamment les propriétaires continuant d’être les vaches à lait de la production d’euros.
Ainsi donc, il a asséché les fonds des caisses d’indemnisation de soutien de tout ordre, ce qui permet de constater qu’elles ont désormais des déficits de personnes qui ne savent pas gérer leurs affaires.
La question désormais est « Quant faut-il s’en débarrasser complètement ».
Ce qui bénéficiaient de cette solidarité n’auront plus qu’à accepter les petits boulots uniquement destinés à maintenir de temps en temps la tête sous l’eau.
Mais les gros patrons eux sont ravis de tant d’aubaine.
Ici, l’on parle des vrais grands patrons, ceux que l’on a la joie d’inviter dans des réception mis en musique par des serveurs smicards.
Mais la baisse d’impôts pour les plus riches continuent.
Et pour équilibrer un peu cette folie à détresse sociale, les droits aux chômage et retraites sont réduits.
Ainsi les éventuels bénéfices dégagés viendront soutenir le déficit national qui fait tant mal aux prêteurs étrangers trop soucieux de leurs deniers.
Ainsi, la boucle est bouclée.
Les pauvres le seront toujours.
Mais, à la différence d’avant il y a longtemps, ils peuvent voir ceux qui resteront riches, à la télé et autres chaînes d’espaces communicatifs, se pavaner dans les si chères réceptions recherchées.