C’est de raison

L’élu(e) de votre cœur ou de raison, n’est pas encore désigné(e) que les couteaux sont tirés dessous la table qui n’est pas forcément de festin pour certains.

Ainsi, une madame ayant cru entendre le désir de l’un de nommer une féminine à ses côtés, se presse de laisser entendre qu’elle est prête à se rapatrier si elle choisie pour ce poste majestueux.

Pensez donc, elle qui magnifie le capitalisme le plus libéral, elle sévit actuellement de l’autre côté de l’Atlantique, prendrez son pied à conduire une politique qui serait soi-disant de gauche, du moins sur le plan social.

L’honneur serait sauf, d’autant plus que personne ne pense réellement que, même sur ce plan, la balance sera de justice.

Sinon, dans le camp des perdants, ou en passe de le devenir, les arbalètes sont fléchées pour abattre de manière neutre l’ennemi prêt à prendre la place qu’il n’y en aura pas pour tout le monde.

Pour le conflit actuel, les relations sont gelées et les diplomates patinent.

Le chef de guerre d’une partie de l’Est décrète que l’assaut de ce qui reste d’un territoire envahi ne se fasse pas.

Il demande l’instauration d’un siège qui aurait pour avantage de ne pas le ridiculiser pour sa fête en défilé de mai 2022.

Mais, si les quelques centaines de résistants se désistent, ils seraient bien considérés : fusillade en exécution pour tous.

Mais le patron de l’Organisme national représentant tous les pays va dire son savoir à celui qui se voudrait tsar.

C’est peut-être pour cela que, soudainement, les lieutenants de ce chef de guerre déclarent être possible de tenter se préparer pour une éventualité de corridor humanitaire.

Et comme il manque de car et bus, merci de patienter pour laisser (sur)vivre les plus forts ou les plus chanceux selon les croyances de chacuns.

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