Après plus de deux ans de privation de liberté, certains peuvent se sentir perdus.
Franchement, ce n’est plus obligatoire, mais c’est fortement conseillé.
Le tout appuyé des dires de sachants qui voudraient être entendus et une pub en vue.
Certes ailleurs il y a la guerre, le pouvoir d’achat qui rend la vie si chère, les élections oû tout reste à faire et couramment les autres affaires.
Bref si l’électeur, le consommateur voire le concitoyen est pris en compte, le gen de la ville quotidienne semble un peu perdu…qui d’ailleurs s’ intéresserait à lui traversé par les tracas de sa vie sans possibilité d’aller sur le trottoir d’en face d’où paraît-il les possibilités ruissellent à flots détendus.
En fait ce serait comme un retour à la terre normande: peut-être que oui, peut-être que non.
Mais passons sur autre chose d’intérêt: le burkini.
La belle affaire.
Je comprend bien la joie que le maire de leur ville de montagne ait été entendu.
Mais quel pataquès pour avoir le droit du choix de sa liberté.
Vous qui avait le pouvoir, laissez les gens vivre en adulte qu’ils sont.
Par contre s’il devait être question de créneaux horaires de piscine, pour rester dans l’exemple, ce serait restreindre la liberté d’autres… Le nouveau gouvernement est arrivé.
Ce qui peut frapper est la relative jeunesse des ministres arrivés.
La trentaine n’est plus rare.
Mais, assez bizarrement au ministère de la jeunesse c’est un homme de plus de 50 ans qui s’inscrit.
Il est vrai aussi qu’il va s’occuper de l’éducation nationale.
Rien que pour embêter les praticiens de la justice qui n’en sont pas ravis, c’est l’ancien avocat qui est maintenu dans ses fonctions.
Ainsi, le réélu veut faire entendre qu’il ne se laissera pas faire par la piétaille.