Ce n’est que de la (télé)com…

L’un des grands fournisseurs d’accès à internet pense toujours vouloir faire le trublion dans ce monde fermé des télécommunications.

C’était véritablement vrai à l’origine où le secteur était monotone alors que 4 gros se partageaient aimablement le secteur.

Mais, est-ce vraiment le cas aujourd’hui ? Vous pourriez le croire au vu et su de la nouvelle communication faisant part de l’arrivée en fanfare d’une nouvelle box qui se voudrait une nouvelle fois révolutionnaire.

Certes à regarder la synthèse qu’est toujours une communication, bien faite, publicitaire, il y aurait de quoi se lécher les babines.

Mais, avant même d’y regarder de plus près, une fois la fameuse ristourne de première année pour les nouveaux arrivés faite, vous êtes certains qu’à ce jour vous ferez parmi les clients à payer leur accès aussi cher.

Et, si les performances indiquées sont vraies, vous devrez encore attendre quelques mois, voire années, pour le constater tant que le reste de la vie quotidienne n’est pas à niveau.

Par ailleurs, les différentes possibilités d’avoir beaucoup de chaînes payantes à disposition ne permet, en fait, que l’accès à de basses solutions avec, en prime, de la publicité à la clé.

En fait, comme le constate une association connue de consommateurs avertis, cette offre ressemblerait plutôt à une action marketing, que vous payez tout de même au prix fort, pour vous abonner effectivement à ces chaînes dans leur intégralité et ajouter un complément au bout.

Alors, avant de céder, regardez… L’économie est tout sauf neutre.

Contrairement à ce que certaines belles langues, qui bizarrement se trouvent à droite, disent la logique économique dépend largement du positionnement politique de la personne concernée.

Il en est ainsi du dogme fumeux du premier de classe de l’économie française.

Celui-ci crie à tue-tête que de bonnes conditions de chômage ne favoriseraient pas le retour à l’emploi.

Or, d’autres, d’un autre bord, affirme au contraire que de bonnes conditions permettraient à un chômeur d’accepter le risque de prendre un emploi à risques.

A qui le tour ?

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