Ce n’est pas évident

Cruel, je m’appelle cruel.

Tirade d’une lettre officielle d’une municipalité qui n’est pas de bourgade, à propos des élections à venir pour tenir l’un des bureaux devant être de présence  « mes plus vifs remerciements pour votre collaboration à cette élection qui, grâce à votre concours se dérouleront dans les meilleures conditions ».

Je passerais sur la virgule absente ou trop présente, pour ne pas paraître trop insensible.

Par contre, pour l’autre bourde d’erreur qui vous aura sauter aux yeux, il n’est d’aucun pardon qu’il soit singulier ou pluriel.

Vous avez sans doute entendu sur toutes les ondes cette ignominie d’un jeune de tout juste 18 qui arme en mains à tout d’abord tué sa grand-mère pour s’en aller tirer quelques enfants de l’ancienne école où il avait été brimé.

Si tous les enfants brimés du monde faisaient de même, le renouvellement de l’espèce serait en danger.

Mais le comble de l’histoire est qu’une majorité de personnages d’Outre Atlantique existe encore pour la liberté pour tous de détenir des armes à titre privé sans restriction de leur liberté de faire.

Bien sûr, un majorité ne va jusqu’à faire cet animal abattu comme un chien, sans recherche d’explication.

Pis encore que la venue de l’ancien clown auguste triste devant une tribune de quelques 50 000 permanents à la tuerie, il y a, en marge intériorisée de cette manifestation, l’exposition de stands d’armes à la découverte dont bien entendu, cela va de soi, l’arme fatale ayant contribué à l’abattage d’enfants insouciants.

Mais, in fine, celle-ci malgré la constitution de leur liberté, ne se verra pas car son fabricant a fait abandon de ces festivités.

Où sont les saisonniers ? 250 000 manquent à l’appel.

Auraient-ils entendu l’appel du réélu qui veut que les français travaillent plus ? En conséquence, les Cdi sont désormais en concurrence avec les Cdi…

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