Ce n’est, parce que

Ce n’est pas parce qu’elle a écrit « Le Génie Lesbien », publicité gratuite, qu’elle a toujours raison.

A la suite de la juste mise en cause par les victimes d’un leader charismatique qui aurait au minimum eu de vrais gestes sexistes et au pire des actes de viol(s), elle semble vouloir dire que ceux qui étaient autour du personnage sont également responsables.

Car voyez-vous, vos amis(e)s doivent non seulement faire partie de votre cercle restreint.

Mais encore ils-elles doivent voir ce que fait de mal l’autre.

Ainsi, si vous avez l’intention de boire un coup avec une personne que vous aimez bien, qui vous attire ou pour tout autre intérêt, non seulement vous devez veiller à ce qu’il-elle ne soit pas atteint(e) par la Covid, mais, de plus, vous aurez embaucher un détective pour avoir connaissance des ses goûts déviants de la moralité saine de notre époque.

C’est marrant, mais cela me rappelle quelques régimes totalitaires que je n’ai heureusement pas, encore, eu à vivre.

Et par ailleurs, cette charmante personne, qui elle est libre de sa parole puisqu’elle entend imposer ses propres règles de vie, a dit que les verts c’étaient aussi le parti du féminisme, ha bon ? Racontez-moi, l’homme qui a raté sa campagne présidentielle pour avoir facturé un salaire à son épouse qui se faisait bronzer pendant ce temps là, a reçu en 1er jugement une peine assez lourde, bon.

Il fait appel c’est son droit.

Et le verdict tombe cinglant puisque l’homme est jugé coupable d’avoir fait alors que femme ne l’avait pas fait – les verts féministes ne vont pas s’en satisfaire.

Mais, et c’est cela qui me trouble, la peine est moins pénible que précédemment.

Serait-ce à dire qu’être coupable d’un acte peut recevoir deux sentences ? Alors, le monsieur, il faut qu’il se porte en cassation.

Peut-être aura-t-il les lauriers en sortie.

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