Cadeau ou pas

L’héritage est et pose un vrai problème.

Une fois passée la douleur de la disparition de l’être si cher du style il n’y a que les meilleurs qui restent (heu excusez-moi, qui partent).

Une fois passé l’étonnement de l’héritage laissé à son corps défendant.

Une fois la réalité redevenue à la surface, il faut faire face au dogme changeant sociétal.

Est-ce oui ou non, bien de recevoir héritage.

Est-il dans le juste sens des choses qu’un propriétaire veuille léguer à un tiers ? Déjà, en France, la situation est fortement régentée par les textes d’élus n’ayant à faire à l’histoire.

Sont forcément héritiers, à défaut de testament autres, le conjoint survivant ou à défaut les enfants connus et sus par tout le monde.

Si l’on peut défaire le conjoint, les enfants ne peuvent y échapper au minimum à concurrence de 25 % de l’ensemble.

Ce qui parfois fait vraiment peu lorsque l’on est plusieurs.

Vous êtes vous toute votre vie.

Au départ, issu de parents modèle sans aucun bien, vous êtes bien nus.

La compréhension de ce premier point de vie, vous incite à vous protéger pour l’hiver, voire la famine.

Aussi, sur les revenus qui vous restent d’un rude labeur après imposition forcée sur une somme déjà amputée par les cotisations sociales et patronales.

Certes, indispensable à une continuité de vie souveraine, mais ponction tout de même.

Cette dernière se poursuit d’ailleurs par le coût d’un crédit qui vient s’ajouter aux frais d’acquisition d’un bien, surtout immobilier, majorés de ceux d’une assurance obligatoire qui se fait de plus en plus remarquer tant l’appétit des assureurs vient en croquant.

En fait, tout se passe comme si vous étiez locataire une vie durant puisque, le crédit étant terminé, vient le temps des travaux de rénovation.

Ou la prise d’un autre crédit pour obtenir plus grand une fois l’indépendance des enfants exigent une chambre à part sans pour autant pouvoir voler ailleurs.

Alors pourquoi encore taxer au prix fort ce qui est bien acquis ?

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