Boomerang en retour

Un que j’ai bien connu, s’est vanté d’être enfin embauché dans la plus grosse boîte de France.

Et, en plus en qualité de RH.

Lorsque l’on connaît un peu le bonhomme, l’on se rend compte de la parabole.

En effet, il s’agit de son intégration dans la maison retraite juste dans les temps avant d’être, pour les autres obligés d’en prendre encore un peu pour plus longtemps.

Et le poste de RH en dit long sur la supposée inertie des personnes tenant le poste.

Mais, j’aimerais prendre l’occasion d’élargir si possible la parabole en étendant cette dernière.

Comment admettre ces étrangers jusqu’alors hors de nos murs et qui veulent eux aussi participer au festin du gâteau dont le nombre de parts n’ayant pas augmenté, chacune d’elle n’en sera que plus réduite.

Bien sûr, les promis à ce régime vont dire qu’ils l’ont bien mériter et feront en sorte que les autres prétendants ne viennent pas leur faire de l’ombre.

Cette idiotie de pensée, ne vous fait-elle pas penser à une autre situation totalement différente mais complètement identique dans le rejet de ce que l’on croit danger.

Vous savez l’étranger cet inconnu qui quitte son territoire natal de peur de ne plus pouvoir y vivre, faire vivre sa famille.

Vous savez personne qui tente travailler ici en toute légalité et certains au noir puisque certains patrons veulent faire l’impasse des charges sociales, y compris de retraite en passant.

Et, lorsqu’il est bien installé, il fait comme son voisin.

Il tente de retenir de nouvelles entrées pour continuer à bénéficier de son pas de porte.

Le malin est définitivement entré dans l’esprit de celui qui a rappelé qu’il avait été réélu.

Il n’a pas la seule majorité pour décider tout seul comme un grand ce qui sera bon pour la France et accessoirement pour les français.

Il fera donc appel à la seule force de l’hémicycle qui s’est fait jetée par les électeurs ; sournois non ?

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