Barnebys, une plateforme pour le marché de seconde main
« Aujourd’hui, les gens veulent acheter sur le marché secondaire non seulement pour trouver des articles personnels, uniques, et de bonne qualité, mais parce qu’ils sont de plus en plus soucieux des problèmes environnementaux. Et tout cela, à un prix nettement inférieur. » Pontus Silfverstolpe, cofondateur de Barnebys
Alors que l’industrie de la « revente de vêtements » représente officiellement un marché de 21,2 milliards d’euros et devrait bientôt dépasser l’industrie du prêt-à-porter, le plus puissant moteur de recherche d’objets d’art et d’antiquités, Barnebys, présente aussi chaque jour des milliers de vêtements vintage et accessoires de mode.
Le marché de seconde main, une démarche écoresponsable
À l’heure actuelle, l’industrie du vêtement fait l’objet de préoccupations et de sévères critiques. Principalement composée d’enseignes fabriquant des vêtements trop éphémères, cette industrie s’avère polluante car elle utilise des matériaux non-recyclables pour la confection d’articles de mode finalement peu portés, avant d’être simplement jetés. A cela s’ajoute le problème du plastique et des emballages qui accompagnent les produits achetés en ligne.
Les milléniaux, qui recherchent des marques soucieuses de l’environnement et des tendances élégantes, préfèrent les vêtements recyclés aux objets neufs. Les maisons de ventes aux enchères et les galeries offrent une nouvelle vie aux objets ou aux habits et accessoires. En surfant sur Barnebys.fr, l’internaute peut ainsi s’habilller, tout en respectant l’environnement.
Des pièces rares
Grâce à Barnebys.fr, l’utilisateur peut trouver des pièces uniques ou encore des objets, accessoires ou vêtements dont la production s’est arrêtée aujourd’hui. Par ailleurs, il peut acquérir des pièces pour lesquelles la demande s’avère largement supérieure à l’offre : le légendaire sac Kelly ou encore l’icônique Birkin de la maison Hermès illustrent ce phénomène.
Le marché de seconde main en pleine expansion
Le marché de la revente d’articles de mode, ou marché de seconde main, qui comprend des pièces de haute qualité proposées à des prix défiant toute concurrence, enregistre une hausse nette. Selon la plus grande friperie en ligne thredUp, le marché de la revente de vêtements représente aujourd’hui 21,2 milliards d’euros, et devrait doubler d’ici à cinq ans pour atteindre 45 milliards d’euros en 2024.
Publié en collaboration avec GlobalData, le rapport 2019 de thredUp sur la revente a révélé que 56 millions de femmes ont acheté des articles d’occasion en 2018, soit une augmentation de 12 millions de nouveaux acheteurs par rapport à l’année précédente. En outre, 51% des adeptes de l’occasion envisagent de dépenser davantage dans le marché de seconde main dans les cinq prochaines années. Alors que la demande ne cesse de croître, Barnebys offre un large panel qui couvre le monde entier.
Barnebys modernise le marché de l’art
Cette croissance accrue des ventes de seconde main s’explique aussi par les modes de consommation des milléniaux et de la génération Z : ils adoptent ces articles jusqu’à 2,5 fois plus vite que le consommateur type.
Si la durabilité des vêtements et accessoires explique ce phénomène, la forte influence de la mode et le jugement des autres y contribuent aussi : dans le but de suivre les dernières tendances et d’exister sur les réseaux sociaux, les jeunes consommateurs renouvellent leurs vêtements à un rythme très soutenu. Les « anciennes tendances » sont rapidement délaissées et atterrissent sur le marché d’occasion, dans les friperies, et dans les salles de ventes aux enchères. Barnebys centralise le monde des enchères en un seul endroit, et adapte le marché de l’art aux nouveaux modes de consommation et technologies que les jeunes générations maîtrisent parfaitement.
Des prix défiant toute concurrence
En furetant en salles des ventes, le curieux ou l’amateur d’art peuvent découvrir des pièces de seconde main à des prix défiant toute concurence, et Barnebys offre une vision mondiale de ce que peuvent proposer les maisons de ventes aux enchères.
Le rapport a également révélé que les consommateurs actifs sur le marché de la revente possédaient en moyenne 28 articles de moins que deux ans plus tôt : peut-être une conséquence de l’influence de Marie Kondo. Par ailleurs, l’industrie de l’occasion a progressé 21 fois plus rapidement que le commerce de détail au cours des trois dernières années. Dans une dizaine d’années, l’industrie de seconde main devrait se développer davantage et surpasser le prêt-à-porter par 1,5 fois.
Selon Pontus Silfverstolpe, cofondateur de Barnebys, « L’intérêt pour les articles de seconde main a considérablement augmenté ces dernières années, en particulier chez les plus jeunes, ce qui n’est pas surprenant. La réutilisation et l’achat d’occasion offrent aujourd’hui le meilleur moyen de dynamiser la consommation. Le processus traditionnel de vente aux enchères dans une salle physique, accessible à seulement quelques collectionneurs, souvent plus âgés, a été délocalisé et transféré en ligne et vers un public plus jeune, plus conscient, et plus large. ». Barnebys crée réellement un pont entre les salles des ventes aux enchères et la génération 2.0.