Et, pourtant, elles appartiennent aux états qui les ont constituées.
Mais, l’essentiel est que ledit pognon soit dirigé dans la bonne direction.
Et qui peut guider efficacement cette conduite ? Ceux qui sont habitués à nager en eaux troubles argentés.
Donc, il faut en préserver le pauvre qui serait trop stresser de gérer tant de flouze.
Ça lui couperait l’envie de l’efficacité dans son travail à hauts risques de pénibilité.
Et ce ne serait pas bon pour le business.
Car, maintenant on le sait bien.
Les premières, deuxièmes voire troisièmes lignes sont indispensables.
Il faut donc beaucoup d’oseille pour faire croire que les autres strates du mille-feuilles sociales ne soient pas de simples parasites.
Au fait, la retraite coûte chère, très chère.
Et c’est bien la faute des pensions versées quoi qu’il en coûte.
Et, quelque part, je suis désespéré d’encore vivre, et j’espère encore longtemps.
Mais, c’est comme pour le viager, il ne fallait pas parier sur la mort de son prochain.
Toutefois, cela fait bizarre d’entendre l’incohérence flagrante du chef du petit parti de droite dire haut et fort qu’il votera la réforme.
En cela persiste-t-il, il se trouve dans la lignée de ses grands maîtres qui ont eu la grande audace de faire leur réforme à eux.
C’est pourtant oublier, que déjà, à chaque fois, c’était pour dire leur volonté de maintenir notre système social et c’était LA réforme pour de bon.
Savaient pas compter ces gens la, ou comptaient-ils pour d’autres intérêts ?? Autre scoop de dernière minute avec cette réforme brillamment écrite.
La question de pose (pléonasme!) de se demander (re) si les instits, non seulement ils partiront avec leurs rides, mais pourront-ils le faire en cours d’année ou devront-ils attendre patiemment les grandes vacances pour s’évader ??