Dans une rue dite « à circulation apaisée » où la vitesse des automobiles est limitée à 30 km/h, permettant une cohabitation entre les tous usagers, un automobiliste a doublé d’un peu trop près un vélo, obligeant le cycliste à faire une embardée pour ne pas être accroché, au risque de glisser sous les roues de cette voiture.
Le rendant compte de la situation, l’automobiliste a freiné, pour s’arrêter, le cycliste a signalé son mécontentement par des mots « fleuris », ce qui est normal en pareille circonstance.
Pensez-vous que l’automobiliste, en faute, se soit excusé, que nenni, il a menacé le cycliste (devant témoins) de lui casser la figure d’une manière plus grossière que ces mets mots.
Le cycliste face à ce comportement n’a pas demandé son reste et a filé, ce que j’aurai à sa place.
Le chauffard est remonté dans sa voiture démarrant comme un fou, pour s’engouffrer à toute vitesse dans l’entrée du parking publique, située 100 mètres devant lui.
Voilà un individu qui commet une faute, ça peut arriver à tout le monde. Par chance pour lui (et pour le cycliste), le cycliste a eu le bon réflexe évitant le drame. Si j’avais été au volant de cette voiture, je serais allé voir le cycliste pour savoir si tout aller bien et m’excuser de ma faute d’inattention. Mais menacer la victime de ses propres errements !!!
Que d’agressivité, je n’ose cet individu dans la vie privée.
