Attention aux dérapages

La 1ère ministre se laisse dépasser les bornes.

Elle franchie la ligne blanche de dire qu’elle a la Vérité et que ses opposants non.

Si c’est de bonne guerre, la scientifique apprend vite, la Démocratie n’est sort pas saine.

Cette dame, haut placée avec bon poste et tous les avantages allant avec, accepte la politique de son chef.

Certes, c’est leur avis.

Certes les planqués dans leurs beaux salons dorés peuvent rester faire semblant de travailler dur jusqu’à leur 75 ans, et pourquoi pas plus ?

Par contre demander à un petit administratif, paysan de nos terres, déménageur en force, technicien de surface, etc.

d’en faire autant sans plus de considération, prouve la grande empathie qu’éprouve cette ministre vis à vis des autres placés plus bas.

C’était la première grande interview du leader de la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale.

Le chef des journalistes a posé une drôle de question.

Mais, bien entendu, ce n’était pas pour déstabiliser le passé au grill des question.

Et, pas plus pour tenter de faire enflammer une polémique qui n’a, n’avait pas lieu d’être.

Le candidat qui se veut 1er ministre légitime a rappelé que le vote était strictement personnel.

Et, que même dans les régimes totalitaire, il l’était y compris pour celui qui votait… Le nouveau ministre appelé traître par ses ex-amis, est sous le feu d’accusations malsaines.

Malsaines non pas pour la dénonciation si les faits sont avérés.

Mais malsaines car curieusement c’est parti en live juste après sa nomination.

L’on sait bien que la politique ce n’est pas la maison pour tous.

Mais ça sent beaucoup plus mauvais qu’une bergerie qui pourtant est bien plus naturelle.

Toutefois, notre première d’aujourd’hui manque d’énergie en affirmant « ne pas être au courant ».

Et le grand déballage continue : désormais c’est l’un des patrons régionaux de l’extrême droite qui est visé par une affaire de tentative de meurtre sur force de l’ordre…

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