Mais cette diminution est moindre que dans les pays alentours.
Toutefois, le « quoi qu’il en coûte » français accompagné des mesures d’apprentissage a bien aidé cette évolution.
Toutefois, dans d’autres pays, il est constaté que les emplois créés sont plus pérennes.
Mais, comme à son habitude, le gouvernement sous la houlette du réélu à faible majorité, veut aller plus loin.
La question est de savoir si c’est en tapant sur les chômeurs et/ou en créant une instabilité d’emplois encore plus précaires ou si sérieusement, nos politiques actuels vont-ils prendre le (faux?) problème à bras le corps en s’intéressant sérieusement aux conditions de bon emploi : pérenne, bien payé et permettant une vraie évolution de carrière.
L’on peut toujours y croire.
3 policiers sont morts à la suite d’un accident regrettable.
Certes la circonstance de celui est le fait de l’usage de l’alcool associé à une drogue ou l’inverse d’ailleurs.
Alors, le chef de l’intérieur fonce dans cette ouverture de réconciliation des bons citoyens qui en ont marre de savoir qu’ils peuvent eux aussi périr de ces breuvages.
Et, la seule réponse trouvée, considérée comme la seule possible, est, comme à l’habitude, la répression.
La prévention ? Connaît pas.
Pourquoi ne pas, déjà, interdire la vente d’alcool à des gens qui déjà ne tiennent pas debout.
Pourquoi ne pas obliger les éthylomètres avant de repartir en conduite ? Pourquoi servir de l’alcool en boîte de nuit ou au resto, alors que le seul moyen de rentrer chez soi est de prendre sa voiture comme arrivé ? Si l’individu sait qu’il ne peut plus l’utilise, prendra-t-il plus de protection contre un état de son fait que de n’avoir pas conscience qu’il sera en possession devenu par défaut une arme ? Pourquoi ? Parce que ce n’est pas suffisamment bénéfique pour la poursuite de carrière pour des politiques.
Mais l’excuse renferme la douleur des victimes ou de ses parents, alors…
