Jamais plus, personne ne pourra dire que l’homme est supérieur ou la femme inférieure.
Déjà une première preuve de cette femme qui a mis 20 ans pour se dédire permettant de libérer l’homme qu’elle avait dénoncé à tort en toute conscience.
Deuxième preuve, il s’est trouvée une avocate, celle de la précitée, qui a trouvé très courageuse l’action de sa cliente.
Et, dernièrement, au moment de cette écriture, l’accusation en règle de forme actuelle de soupçon, de la vice présidente de la communauté européenne arrêtée pour financement d’un pays tiers.
A qui la balle ? Les français ont tiré les premiers.
Les anglais, plus copains, ont craqué.
Bien sûr, sur les champs, il y a eu quelques escarmouches d’imbéciles faisant sembler de fêter dignement la victoire de leur équipe marocaine.
Mais, heureusement, au travers la France, et aussi de part le monde, c’est la joie et la bonne humeur qui l’a emportée.
Vivement mercredi pour voir le jeu des deux amis, comme le disait l’un : « on est pour l’un, mais si c’est l’autre, on serra tout de même ».
Que les fouteurs de m….
en prenne de la graine sans que la moutarde leur monte au nez.
La vie va à toute vitesse, sans doute pour assécher l’espace vide de nos cerveaux sans réflexion.
Et, c’est ainsi, entre autres, que l’on ne prend plus la peine de voir vieillir le bon foie gras de nos ancêtres et que l’on prend le vin dès qu’il est tiré.
Et les citadins n’en peuvent plus de dormir tranquille avec ces ralentisseurs qui diminue la vitesse des automobiles et augment leur temps de passage sous des fenêtres pourtant fermées à volets et rideaux tirés.
Regardez ce vieillard, cet handicapé, ils ont intérêt à faire fissa de traverser s’ils ne veulent pas une dissociation de leurs abats.
